2016

Roxann Guerrette

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Roxann est originaire du village de Ste-Anne de Madawaska au Nouveau-Brunswick. Elle a toujours eu le désir et la motivation d’approfondir ses connaissances dans le domaine biomédical. Titulaire d’un baccalauréat en science (B. Sc.) de la Cité collégiale d’Ottawa, Roxann a consacré son programme COOP à la recherché sur le cancer. Connaissant l’importance de trouver un remède contre le cancer, elle accomplit des stages à l’Institut Atlantique de Recherche sur le Cancer sous la supervision de Dr Gilles Robichaud et à l’institut de recherche de l’hôpital d’Ottawa sous la supervision de Dr Luc Sabourin.
Ses travaux s’orientent vers les comportements agressifs des cellules cancéreuses et les composantes génétiques qui mènent à la malignité.
En septembre 2013, elle entame un programme de maîtrise en science (M. Sc.) à l’Université de Moncton sous la supervision du Dr Gilles Robichaud. Le projet de recherche de Roxann a su impressionner la communauté scientifique et elle a été financé par plusieurs organismes incluant : L’Institut de Recherche en Santé du Canada, le Fond d’Innovation du Nouveau-Brunswick, la Banque TD, Assomption vie et le Beatrice Hunter Cancer Research Institute. Ses implications para-académiques ont aussi été distinguées par plusieurs prix de reconnaissance incluant le prix d’excellence étudiante de la faculté de science de l’Université de Moncton.
En janvier 2015, la thèse de recherche de Roxann a été jugée extrêmement pertinente pour le programme de passage en doctorat. Elle anticipe ses études postdoctorales en médecine personnalisée. Elle aspire une carrière en recherche prolifique au Nouveau-Brunswick. C’est un honneur pour Roxann d’être récipiendaire et ambassadrice du fonds de placement humanitaire Leonard et Kathleen O’Brien.

Jane Thomson

Jane Thomson est candidate au doctorat en droit à l’Université Queen’s et détentrice d’une bourse d’études Vanier (2016) ainsi que de la bourse R. Samuel McLaughlin de l’Université Queen’s. Ses recherches portent sur l’utilisation de la théorie du droit privé dans la réforme juridique sociale, et économique, et plus particulièrement sur la façon dont les attitudes et biais dans la communauté juridique peuvent exacerber les problèmes liés à l’accès à la justice au Canada.
Jane possède une maîtrise en droit de la Harvard Law School et un baccalauréat en droit de l’Université Dalhousie. Elle a travaillé comme assistante judiciaire du juge Cromwell de la Cour suprême du Canada ainsi que des juges MacPherson, Cronk, Juriansz et MacFarland de la Cour d’appel de l’Ontario. Jane possède également des diplômes de premier et deuxième cycles en sciences politiques de l’Université Carleton et de l’Université Simon Fraser respectivement.
Elle est membre du Barreau du Haut-Canada depuis 2009 et a pratiqué le droit de la famille pendant trois ans à Toronto et Ottawa. Jane a également occupé un poste de professeur à temps partiel pendant deux ans à la faculté de droit de l’Université d’Ottawa. Elle a récemment accepté un poste menant à la permanence à la faculté de droit de l’Université du Nouveau-Brunswick, où elle assumera ses fonctions à compter de 2017.
Diplômée de l’école secondaire Fredericton en 1997, où elle a eu l’honneur de prononcer le discours d’adieu, Jane vit actuellement à Ottawa avec son mari Michael, leur fille de 19 mois Poppy et leur bull-mastiff Tom.

Lillian MacNeill

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Lillian MacNeill a été élevée par ses parents Gay et Allan Fanjoy dans une communauté rurale près de Saint John, au Nouveau-Brunswick. Elle a développé une fascination pour le fonctionnement du corps et de l’esprit à un jeune âge. À la fin de ses études secondaires, elle a reçu une bourse Lord Beaverbrook afin d’étudier en psychologie à l’Université du Nouveau-Brunswick à Saint John. Lillian est titulaire d’un baccalauréat avec spécialisation en psychologie et mineur en neuroscience cognitive. Elle détient également une maîtrise en psychologie expérimentale, qu’elle a obtenue grâce à une bourse du Programme d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH).
Elle est actuellement inscrite au doctorat en psychologie expérimentale à l’Université du Nouveau-Brunswick à Saint John, et bénéficie d’une bourse du Programme d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Ses travaux portent notamment sur la réhabilitation de dépendances et la douleur chronique. Lillian est reconnaissante à la Fondation O’Brien d’appuyer sa recherche actuelle, qui vise à étudier le rôle de la participation des patients dans la gestion de la douleur chronique et des résultats sur la qualité de vie après une intervention orthopédique.
En plus de ses études doctorales, Lillian contribue à une recherche communautaire sur l’efficacité des programmes locaux de consultation externe s’adressant aux personnes souffrant de dépendances. Après avoir terminé son doctorat, Lillian espère travailler dans le domaine de la recherche en santé et plus particulièrement sur le rétablissement et le bien-être des patients.

Jérémie B. Dupuis

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Jérémie Dupuis est étudiant à la maîtrise en psychologie à l’Université de Moncton sous la direction de Dre Ann M. Beaton. Ses recherches portent sur les relations intergroupes et l’identité collective, plus particulièrement l’effet des profils identitaires collectifs sur la santé mentale des jeunes acadiens et acadiennes.
En 2012, Jérémie a terminé le Diplôme en Sciences de la Santé de l’Université de Moncton. Il a ensuite poursuivi ses études à l’Université de Montréal où il a obtenu un baccalauréat en psychologie en 2015. Lors de sa dernière année de baccalauréat, Jérémie eut l’occasion de travailler en tant que rédacteur en chef du Journal sur l’identité, les relations interpersonnelles et les relations intergroupes (JIRIRI), une revue scientifique internationale de psychologie pour les étudiants du baccalauréat. C’est à ce moment que sa passion pour la recherche s’est développée de manière exponentielle.

 

Brady K. Quinn

Brady Quinn a grandi dans la petite ville côtière de Parrsboro, en Nouvelle-Écosse. Il a passé la majeure partie de sa jeunesse entouré de champs de bleuets, de bois et de plages intertidales, des lieux qui ont fait germer en lui une passion pour la nature. Pour satisfaire cet engouement, il a étudié la biologie à l’Université Mount Allison à Sackville, au Nouveau-Brunswick, où il a terminé sa thèse de spécialisation sous la direction de Diana Hamilton et Melanie R. Boudreau en 2010. Dans le cadre de ses travaux, il a démontré que les interactions concurrentielles entre les crabes verts et nasses envahissants contribuent à atténuer leurs incidences sur la population de moules.
Brady a ensuite obtenu une maîtrise en biologie de l’Université du Nouveau-Brunswick à Saint John, sous la direction de Rémy Rochette et Joël Chassé. Il a conçu un système de modélisation informatique visant à évaluer si, et sur quelle distance, les larves de homard américain pouvaient dériver entre des zones de pêche du homard. À la différence des homards adultes, les larves vivent à la surface de l’eau et peuvent ainsi dériver au gré des courants. D’après sa thèse de maîtrise, qu’il a terminée en 2014, la distance parcourue entre les zones de pêches est considérable, créant ainsi des connexions importantes entre différentes zones. Certaines incertitudes demeurent toutefois en raison du manque de données disponibles, lors de la rédaction de sa thèse, sur divers aspects de la biologie des homards susceptibles de réduire les dérives.
Brady a donc décidé de poursuivre un doctorat à l’Université du Nouveau-Brunswick à Saint John afin de valider, d’améliorer et d’élargir à l’aide de nouvelles données les conclusions de sa thèse de maîtrise sur la dérive des larves. Brady espère rester dans les provinces Atlantique après son doctorat et poursuivre ses recherches sur les crustacés, son sujet préféré, tout en enseignant et en collaborant avec l’industrie de la pêche.

Brandi Estey-Burtt

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Brandi Estey-Burtt a grandi à Upper Keswick, au Nouveau-Brunswick, et obtenu un baccalauréat avec spécialisation en études anglaises de l’Université St. Thomas. Elle a ensuite terminé une maîtrise en études anglaises à l’Université McMaster. Intéressée par les questions de religion et de foi, elle a obtenu une deuxième maîtrise à la Atlantic School of Theology, de Halifax, où elle s’est penchée sur l’éthique animale dans la théologie chrétienne.
Brandi est actuellement candidate au doctorat en études anglaises à l’Université Dalhousie, à Halifax, où elle réside avec son mari et leurs deux chats. Grâce à une bouse du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH) et une bourse de recherche Killam, elle s’intéresse aux formes contemporaines de religion, de foi et de sacré dans la littérature du XXIe siècle. Elle tente plus particulièrement de comprendre dans quelle mesure les auteurs contemporains conçoivent l’expérience religieuse comme un aspect vital de l’identité tout en remettant en question ses liens avec des modèles plus institutionnels de la religion. Elle cherche à déterminer comment ces exemples de post-sécularisme littéraire peuvent favoriser une conscience politique de la diversité religieuse.
Brandi s’entraîne afin d’obtenir une ceinture noire en Karaté et travaille bénévolement pour la Halifax Cat Rescue Society et des organismes de commerce équitable. Elle remercie à Fondation O’Brien pour son soutien financier.

Teresa Devor

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Arrivée au Nouveau-Brunswick il y a une décennie, Teresa Devor considère désormais cette province comme son lieu de résidence et l’axe principal de sa carrière. Teresa est diplômée en histoire du climat et études environnementales. Dans le cadre de sa thèse de maîtrise, elle a examiné des dossiers scientifiques et documentaires afin de comprendre l’histoire du climat au Canada Atlantique du XIXe siècle au début du XXe siècle. Elle a analysé la variabilité de la formation hivernale des glaces dans le golfe du Saint-Laurent, l’incidence du climat sur les saisons et le transport maritime et intérieur, ainsi que la tendance actuelle au réchauffement à agir sur le climat local et mondial. Teresa termine actuellement sa quatrième année de doctorat en histoire à l’Université du Nouveau-Brunswick. Dans le cadre de sa thèse, elle étudie les journaux et mémoires des colons qui se sont installés dans la vallée de la rivière Saint-Jean afin de savoir comment ils ont réussi à comprendre les conditions météorologiques et climatiques qui prévalaient dans les fermes, les voies navigables, les forêts et les érablières et à s’y adapter.
Teresa entend continuer à partager avec les gens de la province et d’ailleurs les histoires illustrant l’ingéniosité et la résilience socioécologique dont la population rurale du Nouveau-Brunswick a su faire preuve au fil du temps. L’exemple des colons montre comment bâtir et préserver des communautés vitales dans un contexte de changement environnemental, et ce, en misant sur la sécurité alimentaire locale, de petits systèmes de production d’énergie durable et la préservation de l’infrastructure. Les travaux de Teresa peuvent également aider les scientifiques et responsables de l’élaboration des politiques à mieux comprendre la variabilité du climat local dans le passé, le présent et le futur. Sa base de données sur les glaces, l’eau et les inondations, par exemple, permet d’étayer les études réalisées par des chercheurs provinciaux.
Pour aider les Néo-brunswickois, les Canadiens et la communauté internationale à réagir efficacement aux enjeux environnementaux et sociaux, Teresa écrit des articles à diffusion publique et universitaire, entretient des relations avec des politiciens provinciaux et fédéraux, donne des conférences, participe à l’organisation d’événements éducatifs et enseigne au niveau universitaire. Au cours de la dernière année, elle a partagé sa passion pour la résilienc