2015

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A. Luke MacNeill

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Luke MacNeil est né et a grandi à Saint John au Nouveau-Brunswick. Fasciné très tôt par les médias, il part étudier dans une école de cinéma de New York en 2005 . Après l’obtention de son diplôme, il revient au Nouveau-Brunswick afin de poursuivre son autre passion : la psychologie. Luke a obtenu un baccalauréat en psychologie avec mention très honorable en 2011 et une maîtrise en psychologie expérimentale en 2014. Il est actuellement inscrit au doctorat en psychologie expérimentale à l’Université du Nouveau-Brunswick (Saint John). Dans le cadre de sa thèse, qui conjugue sa passion pour les médias et la psychologie, il examine comment l’attachement aux personnages de télévision issus de groupes minoritaires contribue à réduire les préjugés envers ces groupes dans la vie de tous les jours. Pour mener à bien sa recherche, Luke bénéficie d’une bourse du Programme d’études supérieures du Canada Joseph-Armand-Bombardier du Conseil de recherches en sciences humaines (CRSH). Il est honoré de recevoir le soutien supplémentaire de la Fondation O’Brien, qui lui permettra de terminer sa recherche et de présenter ses conclusions aux Canadiens. Après l’obtention de son doctorat, Luke espère obtenir un poste de professeur et poursuivre ses travaux sur l’attachement médiatique.

Amanda Cavanagh

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Amanda Cavanagh a grandi à Quarryville, au Nouveau-Brunswick, où elle s’est découvert une passion pour la biologie en explorant les berges de la rivière Miramichi. Elle a développé un intérêt pour l’écologie végétale et la psychologie lors de ses études au baccalauréat ès sciences spécialisé à l’Université du Nouveau-Brunswick. Dans le cadre de son projet de spécialisation, elle a comparé les avantages des stratégies reproductives des plantes et contribué à faire la lumière sur la détermination du sexe des bryophytes.

Amanda poursuit actuellement des études de doctorat à l’Université du Nouveau-Brunswick. Son projet de recherche consiste à étudier les mécanismes de réponse des plantes aux changements globaux à l’échelle moléculaire et biochimique, de même que les conséquences de ces réactions sur l’écosystème dans son ensemble. Amanada espère plus particulièrement que ses travaux mèneront à la découverte éventuelle de plantes cultivées plus résilientes. Elle a bénéficié de bourses d’études supérieures du CRSNG (à la maîtrise et au doctorat) et est honorée du généreux soutien de la Fondation O’Brien.

Daniel M. Chevrier

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Natif de Fredericton, Daniel M. Chevrier a été élevé à Stanley au Nouveau-Brunswick par ses parents Sara Dunton et Gerald Chevrier. Après avoir terminé ses études secondaires au Stanley High Scool en 2007, il s’est inscrit au baccalauréat ès sciences à l’Université Dalhousie, à Halifax en Nouvelle-Écosse. Intéressé initialement par la pharmacie et la conception de médicaments, il change d’orientation à la fin de sa première année au programme général de sciences et s’inscrit au baccalauréat en chimie. De 2009 à 2010, Daniel a travaillé comme assistant au projet de recherche en chimie numérique de Fritz Grein (professeur émérite de chimie de l’Université du Nouveau-Brunswick à Fredericton). Il a obtenu son baccalauréat ès sciences spécialisé en chimie en 2011, puis a poursuivi ses études supérieures au département de chimie de l’Université Dalhousie.

Il termine actuellement sa quatrième année de doctorat en chimie, sous la direction d’Amares Chatt et de Peng Zhang. Ses travaux de recherche portent sur la chimie physique et notamment sur l’étude, au moyen de techniques de spectrographie par rayonnement synchrotron, de la structure et des propriétés des nanoparticules d’or. Ce type particulier de particules d’or pourrait jouer un rôle déterminant dans la prochaine génération d’agents d’imagerie biologique et de catalyseurs performants. Daniel a obtenu la bourse d’études supérieures du Canada Alexander-Graham-Bell en 2014, en reconnaissance de ses efforts universitaires et de recherche. En plus de ses recherches, Daniel a occupé les postes de coordonnateur de liaison et ancien président de la société des étudiants de troisième cycle en chimie. Il pratique une grande variété d’activités extérieures, dont la randonnée et le vélo, et joue de la guitare dans le groupe néo-soul Roxy and the Underground Soul Sound de Halifax.

David Kingston

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David Kingston a grandi à Fredericton, au Nouveau-Brunswick. Après avoir terminé ses études secondaires au Fredericton High School en 2007, il est entré à l’Université Queen grâce à des bourses d’études et athlétiques (football universitaire). Il y a obtenu un baccalauréat ès sciences (2011) et une maîtrise ès sciences en kinésiologie (2013) avec spécialisation en biomécanique. David est actuellement candidat au doctorat en kinésiologie à l’Université de Waterloo, en Ontario.

Il s’intéresse plus particulièrement aux mécanismes d’agenouillement et aux flexions élevées du genou de même qu’à leurs liens avec les risques d’arthrose du genou au travail et dans les loisirs. Il vise à quantifier les effets cumulés des charges sur les flexions élevées en acquérant une meilleure connaissance des conséquences mécaniques et structurales de ces postures sur l’articulation du genou. Cette recherche est essentielle à la conception et à la vérification futures de prothèses du genou ainsi qu’à la détermination des mécanismes de dégénération et de défaillance des tissus.

Jason Hall

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Jason Hall a grandi au milieu des collines verdoyantes de Johnville, une petite collectivité agricole du nord du comté de Carleton, au Nouveau-Brunswick. La vie dans un milieu rural imprégné d’une riche histoire orale et le travail de la terre ont nourri son appréciation de l’histoire naturelle et humaine. Jason a étudié en histoire et en anthropologie à l’Université St. Thomas, puis obtenu une maîtrise en études environnementales de l’Université York à Toronto. Après avoir travaillé quelques années pour le système scolaire public du Nouveau-Brunswick, il a décidé de réaliser son rêve : retourner à l’université et étudier l’histoire et la culture de sa province. Pour ce faire, il a entrepris des études doctorales à l’Université du Nouveau-Brunswick.

Sa thèse sur l’histoire environnementale et culturelle de la rivière Wolustoq (fleuve Saint-Jean) jette un nouveau regard sur les relations entre les Malécites, Acadiens et Britanniques et les poissons, les berges et le débit du bassin hydraulique. Elle explore des aspects comme l’agriculture malécite et coloniale, l’adaptation humaine aux inondations et aux changements climatiques, l’élaboration de lois sur la propriété et la conservation, le génie hydraulique, la pêche et le transport riverain. En plus de combiner l’expérience sur le terrain et la recherche universitaire, Jason se promène souvent à pied ou en canoë le long du fleuve Saint-Jean. Il prévoit tirer de sa thèse un livre à l’intention des étudiants et du grand public. Jason croit que son travail permettra à la population du Nouveau-Brunswick de mieux comprendre son passé et faire face aux principaux enjeux auxquels la province est actuellement confrontée, comme les inondations fluviales et côtières, l’avenir des barrages hydroélectriques, les changements climatiques, les conflits en matière de développement et de conservation des ressources. Jason enseigne à temps partiel à l’Université du Nouveau-Brunswick et à l’Université St. Thomas. Il a présenté les résultats de ses travaux dans des écoles publiques, aux communautés anglophones, francophones et des Premières Nations, ainsi qu’à des chercheurs régionaux et internationaux. Après l’obtention de son doctorat, Jason souhaite trouver un poste qui lui permettra de rester dans la province et d’y contribuer.

Jennifer Klinck

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Jennifer Klinck termine actuellement une maîtrise en droit à l’Université de Cambridge. Titulaire d’un diplôme conjoint en droit civil et en common law de l’Université McGill, elle a reçu de nombreux prix et a terminé deuxième de sa cohorte. Jennifer a ensuite fait un stage auprès de l’honorable Marshall Rothstein de la Cour suprême du Canada. Elle a pratiqué le droit constitutionnel et administratif pendant trois ans à Ottawa, sous la direction de l’ancien juge de la Cour suprême du Canada Michel Bastarache. Jennifer a été partie à des litiges présentés notamment devant la Cour suprême du Canada sur des questions relatives au fédéralisme, aux droits constitutionnels, à l’équité procédurale et la révision des décisions administratives.

Jennifer participe également bénévolement à diverses initiatives. Elle est membre du comité directeur du projet Cambridge Pro Bono et du comité sur les questions juridiques d’Egale Canada. Jennifer a occupé la fonction de mentor au sein du Réseau national d’étudiant(e)s pro bono, offert une aide juridique aux réfugiés dans le cadre d’un stage d’été pour Human Rights en Afrique du Sud et a représenté bénévolement Amnistie International dans le cadre d’une intervention devant la Cour suprême du Canada. Ses travaux ont été publiés dans des revues canadiennes et internationales. Elle est également l’auteure principale d’un chapitre du livre de M. Bastarache et M. Doucet Les droits linguistiques au Canada (troisième édition).

Jennifer a obtenu une bourse de la Fondation O’Brien afin de poursuivre ses études doctorales en droit public comparé. Dans le cadre de sa thèse, elle entend examiner la relation entre les tribunaux et d’autres institutions démocratiques – par exemple, les processus de participation publique aux prises de décisions du gouvernement et les organismes de surveillance indépendants qui rendent des comptes au public (ombudsmen) – servant de mécanismes de responsabilité gouvernementale.

Jeremy Bourque

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Jeremy Bourque est né et a grandi à l’extérieur de Moncton, au Nouveau-Brunswick. Après avoir terminé ses études secondaires au Moncton High School en 2009, il a entrepris un baccalauréat à l’Université Mount Allison à Sasckville, au Nouveau-Brunswick. S’étant découvert un intérêt pour la chimie, Jeremy a travaillé plusieurs années au sein du groupe Wild Toads, sous la supervision de Steve Westcott, où il a synthétisé et étudié de nouveaux agents d’hydroboration utilisés comme réactifs communs dans la synthèse pharmaceutique.

Jeremy a obtenu son diplôme avec spécialisation en chimie en 2013. Il a ensuite travaillé plusieurs mois pour Ross C. Barclay, étudiant les propriétés d’oxydation des acides gras de remplacement aux isotopes. En 2013, Jeremy a entamé ses études doctorales à l’Université Western Ontario, sous la direction de Kim Baines. Dans le cadre de ses travaux, il examine la capacité de nouveaux complexes réactifs de gallium à servir de catalyseurs dans un large éventail d’applications. Dans ses temps libres, Jeremy aime jouer au squash, faire de la randonnée et pratiquer le golf pendant l’été.

Mariah Malone

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Issue d’une petite communauté de la côte du Nouveau-Brunswick, Mariah Malone possède une formation en littérature anglaise et en sociologie. Elle a obtenu un baccalauréat ès arts avec mention de l’Université Mount Allison en 2013. Inspirée par le travail de sa mère dans un établissement de soins de longue durée et par divers sujets étudiés au premier cycle, Mariah a entrepris une maîtrise en promotion de la santé à l’Université Dalhousie, à Halifax en Nouvelle-Écosse. Elle s’intéresse principalement au vieillissement en santé. Elle a élaboré, sous la direction de Bard Meisner, un projet combinant son domaine de recherche, la sexualité et la recherche communautaire. Mariah fait également partie du Centre de recherche et d’éducation sur le vieillissement et la santé communautaire, qui a pour mandat d’apporter des changements positifs dans la vie des personnes âgées de nos communautés.

Mariah apprécie grandement la bourse O’Brien qui lui a été attribuée et qui l’aidera à poursuivre ses études. Elle est fière de bénéficier du soutien d’une fondation qui a encouragé un si grand nombre de chercheurs dévoués et novateurs au fil des ans.

Mayme Lefurgey

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Étudiante en deuxième année de doctorat à l’Université Western, Mayme Lefurgey souhaite obtenir un diplôme conjoint en études féminines et recherche féministe et en justice transitoire et reconstruction post-conflit. Elle travaille sous la direction de Joanna Quinn, la directrice fondatrice du Centre for Transitional Justice and Post-Conflict Reconstruction de l’Université Western. Originaire de Campbellton au Nouveau-Brunswick, Mayme est titulaire d’une maîtrise ès arts de l’Université des Nations Unies pour la paix au Costa Rica. Elle est également diplômée du Programme de maîtrise pour la paix, le développement, la sécurité et la transformation de conflits internationaux de la Chaire pour la paix de l’UNESCO, à l’Université d’Innsbruck en Autriche.

Mayme a travaillé au Malawi en tant que spécialiste de l’égalité entre les sexes dans le cadre du Programme de stages internationaux pour les jeunes de l’Agence canadienne de développement international (ACDI). Elle a récemment occupé le poste de coordonnatrice des activités de sensibilisation à la violence domestique au Nouveau-Brunswick. Mayme a fait un stage au Programme des Nations Unies pour le développement sur les questions relatives à l’égalité des sexes et au développement durable. Elle a travaillé pour Make Every Woman Count, un organisme de la diaspora africaine basé au Royaume-Uni. Mayme fait actuellement office de mentor en coopération internationale auprès d’étudiants de premier cycle qui désirent travailler bénévolement à l’étranger pour l’ONGI Omprakash. Elle s’est récemment vu décerner une Médaille de la paix du YMCA pour son engagement en matière de leadership et de consolidation de la paix communautaire.

Rachael Wyatt

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Le baccalauréat conjoint en arts et en science offert par l’Université du Nouveau-Brunswick a attiré Rachael Wyatt à Fredericton. En mai 2001, elle a obtenu un baccalauréat en littérature anglaise et en biologie-chimie de l’Université du Nouveau-Brunswick. Grâce à une bourse de maîtrise du CRSH, Rachael déménagé ensuite à Montréal afin de poursuivre sa passion pour la poésie. Le programme de maîtrise de l’Université Concordia lui a permis d’approfondir ses connaissances en littérature anglaise et de perfectionner l’art de la poésie. Dans le cadre de sa thèse, elle a écrit un livre de poèmes sur le ginko, dans lesquels elle fait appel à un langage, des théories et des termes scientifiques issus de sa formation en biologie. Comme elle s’ennuyait des sciences et des travaux pratiques, Rachael a décidé de retourner à Fredericton afin de s’inscrire comme doctorante au laboratoire de Bryan Crawford, tout en continuant à contribuer à la communauté de la poésie en écrivant des critiques.

Dans le cadre de ses travaux actuels, Rachael étudie les mécanismes moléculaires de l’invasion cellulaire afin de mieux comprendre les phénotypes des cellules cancéreuses lors de la formation de métastases. Elle s’intéresse plus particulièrement à l’incidence des différences évolutives d’une famille de protéases extracellulaires sur la capacité des cellules à franchir les limites tissulaires. Outre le généreux soutien financier de la Fondation O’Brien, Rachael bénéficie également de l’aide du CRSNG et du FINB.

Sarah King

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Sarah King est candidate au doctorat en éducation à l’Université du Nouveau-Brunswick à Fredericton, au Nouveau-Brunswick. Dans le cadre de ses travaux, elle examine comment les universités des provinces de l’Atlantique utilisent des méthodes appréciatives pour enseigner l’engagement citoyen et favoriser la participation civique des étudiants, du personnel, des professeurs et de l’administration à des débats sur l’avenir de la région et de ses établissements d’enseignement postsecondaires.

Sarah est née et a grandi dans une région rurale de Terre-Neuve-et-Labrador, en plus d’y terminer ses études secondaires. Elle est titulaire d’un baccalauréat en études du leadership interdisciplinaire du Renaissance College affilié à l’Université du Nouveau-Brunswick, d’un baccalauréat en enseignement aux cycles moyen et intermédiaire de l’Université Brock de St Catherine en Ontario ainsi que d’une maîtrise en éducation de l’Université York de Toronto en Ontario. Dans le cadre de sa thèse de maîtrise, Sarah a examiné comment l’enseignement de romans historiques sur des survivantes de l’Holocauste aux jeunes filles pouvait contribuer à renforcer les initiatives de lutte à l’intimidation dans les écoles.

Outre ses études doctorales, Sarah travaille à temps partiel comme instructrice au Renaissance College et comme adjointe de programme pour l’Initiative Andrews à l’Université du Nouveau-Brunswick à Fredericton. Cette expérience lui permet de renforcer son engagement envers les pratiques d’enseignement communautaire et interdisciplinaire. Sarah remercie grandement la Fondation O’Brien d’appuyer sa recherche et sa participation au bien-être des provinces de l’Atlantique.

Titulaires des bourses O’Brien – 2014 à 1979